Les Tuk-Tuk à Phuket
Vous êtes ici : Phuket > Déplacement à Phuket > Tuk-tuk
Oui, ils font partie du folklore thaïlandais. De Chang Mai à Phuket, en passant par les axes (sur)sollicités de Bangkok, on n'imagine pas la Thaïlande sans ces petites embarcations bricolées, décorées, fleuries ; sortes de scooters améliorés, flanqués d'une remorque couverte dont le confort varie mais se limite généralement à des bancs en bois. On s'accroche fermement... à ce qu'on peut. Tout est ouvert et ça va (très) vite. Une ceinture ? Quelle ceinture ?
Hyper folklos avec les jolies fleurs qui dansent sous le rétro et les ésotériques représentations de Bouddha. Mais très bruyants, plutôt lents et... chers sur l'île de Phuket. Oui, chers. Tout simplement parce que les tarifs ne se négocient pas. Tous les chauffeurs se sont mis d'accord sur des tarifs fixes entre les différentes localités de l'île et gare à celui qui ne s'affranchit pas de sa course ou qui essaie de négocier après coup. Des forums parlent de corrections musclées qui ont conduit quelques audacieux touristes à l'hôpital.
Les Tuk-tuk ont ainsi le monopole des stations les plus fréquentées de Phuket où les taxis n'ont pas droit de séjour. Seules alternatives : les chauffeurs privés ou les (très recommandés) bus locaux, plus lents mais tellement plus authentiques. Un excellent moyen de prendre le temps d'entrer en contact avec les souriants Thaïlandais.
Astuces, bons plans, mises en garde
C'est cher en journée et c'est encore plus cher le soir et la nuit lorsque, interruption des bus publics oblige – dès 17h en général -, les tuk-tuks deviennent la seule alternative. Et là encore, négociation impossible.
Regroupez-vous : proposez à d'autres vacanciers de partager le même tuk-tuk (il peut faire une escale) ; plus on est nombreux, moins la place est chère.
La seule possibilité de négociation s'articule autour d'un « forfait » journalier, hebdomadaire...